Sécurité sur pas de tir
Les faits :
Hier 13 mai lors d'une compétition FU à Blagnac à laquelle je participais, lors d'une planche, mon voisin de droite, un SV, à tirer son tour, son premier coup avec cible manqué puis n'a pas tirer son second coup. L'impression que j'en avais vu de derrière était plus un refus de tir lié à un effet de surprise associé à un manque de rapidité et réflexe, le plateau fuyant rapidement. Pas de coup de doigt, ni de déclic caractéristique d'une cartouche mal percuté. Au lieu de casser son fusil pour lequel le zéro était annoncé, il a joué l'avarie d'arme pensant que l'arbitre, un cadet aller lui remettre. L'arbitre ne se déplaçant pas car ne connaissant pas ou peu la règle il a effectué une rotation sur sa droite fusil fermé a hauteur de hanche ligne de mire dans la direction des hanches de son voisin de droite. Voyant le danger et étant situé à cet instant là derrière le tireur m'étant déplacé au son du zéro j'ai repoussé le bras du tireur vers la fosse à grand cri.
Inutile de vous dire que nous avons eu tous peur. Après zéro confirmé par un assistant arbitre, l'arbitre n'ayant pas bougé le tir à repris. A la fin du tir le responsable n'avait pas encore réalisé la situation de danger. les rapports de presque accidents Il a fallu lui rappeler ces gestes !!!
Ce qu'i convenait de faire (liste non exhaustive) :
Le tireur devait rester sur son poste fusil tenu par la poignée de crosse doit ôter de la détente et lever son autre bras pour signaler l'avarie. En aucun cas il devait se tourner.
L'arbitre aurait du se déplacer en demandant un arrêt du tir...
Mesures à prendre (liste non exhaustive) :
Insister sur les consignes de sécurité. Un rappel de cette consigne pourrait se faire systématiquement avant le flambage de son premier tour.
Ne pas laisser l'arbitrage à une personne inexpérimentée. Dans notre cas, un des assesseurs était un ancien club France et aurait dû le prendre !
N'hésitez pas à nous faire part de vos témoignages de manière à dresser un base de donnée des incidents et accidents parce que la sécurité est l'affaire de tous et qu'il n'y a jamais de fatalité.